The darkness in me (poème d'un répurgateur)

Juste quelques petits vers que j'écrirai au fur et à mesure qu'ils me viennent quand je travaille, c'est juste un exutoire et l'idée que du monde puisse le lire me réconforte, c'est humblement que je demande à ce que l'on me laisse ce petit espace de toile pour y écrire. Merci.


Les abysses de l'humanité,
Cette horreur que j'ai côtoyé,
Toute cette rage contenue,
Sur le qui-vive toujours tendu,
J'ai transcendé la peur, l'effroi,
Habitué mon cœur au froid.

Un pas de plus vers la folie,
Chaque jour des gens raille ma vie,
Leur égoïsme transperce
mon âme et une peste
qui ravage mon paradis
est généré par leur envie!

Des dents! Des crocs! Ceux du chaos!
Ils veulent me tuer les salauds!
L'horreur est réelle aujourd'hui,
Car ils sont là dans la vrai vie,
Tueurs, assassins et voleurs,
Qui puent l'alcool et la sueur.

C'est bien écrit en tout cas . Ce que je trouve super, c'est que ce poème pourrait se situer dans le monde de Warhammer ou dans le monde réel indifféremment et sans problème de cohérence.

c'était l'effet recherché merci Dangorn

Très sympathique !! Il est juste dommage que tu aies mis cela dans la flood zone

ho hum merci

j'ai pas énormément confiance en mes talents d'écriture donc je me suis dis que j'allais juste écrire comme ça ici. Mais merci beaucoup pour ces compliments

Oui ! il vaut mieux mettre ce charmant poème plein d'optimisme et de valeurs positives dans la section "discution sérieuse".

PS : Je te charie, j'aime beaucoup!

Merci je ne pensais pas atterrir dans une partie aussi prestigieuse que l'estrade des artistes, juste histoire de ne pas laisser qu'une impression de gros dépressif j'ai écrit ça cet après-midi. Une histoire de nain bourré.

Les yeux tout injectés de sang,
Un bout de bois entre les dents,
Les joues creusées, la barbe drue,
Le nain bourré sur son gros fut.

Il harangue les passants,
Du pied, il botte les chalands.
« Une autre tourné tavernier !
Ou tu goûtera de mon pied ! »

Le tenancier en maugréant,
Sert sa chope en l’insultant.
Le bon poivrot ne répond pas,
Tellement bourré qu’il n’entends pas.

« Tu dormira chez les cochons ! »
Lance le Barman au vieux pochetron.
Vidant sa chope en rigolant,
Le vieux nain tombe sur son séant.

« Bien ! Amis cochons me voilà ! »
Et en titubant il s’en va,
Lier amitié porcine,
Et rancune assassine.

Les poèmes c'est pas trop mon truc mais j'en lis de temps en temps.

En tout cas je le trouve vraiment sympathique et assez comique

En fait, je voulais pas le mettre ici, ce topic, mais dans la Bibliothéque. Mais j'm'a planté ! Pas doué l'octopode !!

Demön

EDIT : Le nain vient à ta rescousse