Mon Histoire
Je suis né un beau jour d'été en l'an de grâce (je ne sais pas combien), je vécu jusqu'a l'âge de 6 ans avec mon père, ma mère étant morte en me donnant la vie. Où je vivais dans une petite maisonnette en bois. Mon père était Tanneur, on avait juste de quoi survivre. Après, je fus confié à un noble du nom de Ulrich van LICHTENSTEIN.
De là, je suis parti avec lui à « Dunkelberg », je lui servais de palefrenier, je ne faisais que m’occuper de son cheval, en échange de quoi il m’apprit à écrire et lire.
Tous les jours, je devais me lever à l’aurore, préparer son cheval pour qu’il soit le plus beau.
Pourquoi ? Pour qu’il puisse aller se pavaner dans la forêt ou pire encore, juste venir le voir dans l’enclot de l’écurie.
Et je me sentais méprisé et haïs pour je ne sais quel raison toutes personnes qui venais à son domicile, me regardait méchamment comme si j étais le diable en personne.
Il m’arriva même d’être maltraité et frapper parce que je n’avais pas bien rempli ma tâche.
Coup de bâton, cravache, pied, poing juste parce que je n’étais pas encore prêt a son arrivé.
Les années passèrent, Ulrich vu que je devenais un homme fort, agile et plein de perspicacité.
Je devais avoir un peu plus d’un quinzaine d’année lors se qu’il décida que je devait apprendre le maniement des armes.
A mon deuxième jours d’apprentissage, il ne m’épargna pas et me blaisa à la tête. Une entaille qui partais de mon crâne et se stoppait au niveau de mon nez. Son coup était volontaire, il m’avait désarmé. Je n’aurai rien su faire pour l’éviter.
Depuis ce jour, je ne fis que le haïr pour cette cicatrice qu’il m’a laissé. Dès lors, chaque jour d’apprentissage devenait du plaisir, je m’améliorais de plus en plus vite.
Puis un jour, alors que le jour se levait, quatre personnes m’ont attraper, bâillonné, ligoter. Et je fus jeté dans la rivière « grissen »,
Je venais a peine de fêter mes 18 printemps, je ne pouvais pas mourir ainsi.
Heureusement pour moi, j’avais toujours le couteau que mon père m’avais donné, c’était la seule chose qui ne me fit pas l’oublié. Il se trouvait dans ma botte droite, j’ai donc du faire le contorsionniste pour arriver à l’atteindre. Une fois en main, j’ai couper mes liens.
J’ai nagé difficilement jusqu’au rebord de la rivière, effectivement, avec tous les coups reçu je me suis cassé une jambes. Une fois arrivé je n’en pouvais plus et je m’endormis.
Lorsque je me réveillai la nuit était presque tombée, c’est pourquoi je m’empressai de retournée à la villa. Un fois arrivé, j’ai vu Sir Ulrich discuté avec une autre personne. Il disait être content que ce bon vieux Jake Kain (mon père) fût tué par un empoissonnement. Il n’avait plus besoin de s’occuper de moi vu que plus personnes ne connaissait son secret. Et que c’était pour cela qu’il avait commandité de me tuer. Mais de quel secret parlait-il, encore une chose à devoir découvrir.
Je n’avais alors qu’une envie, me venger et le tuer de mes propres mains. Mais j’étais encore beaucoup trop faible c’est pourquoi je parti dans la forêt de « Reikwald »
Au printemps, lors d'une nuit étoilée, notre jeune héro « Cerick » qui depuis quelques jours est perdu, errent dans la forêt de « Reikwald »
Soudain, il entendit des cavaliers, il se rapprocha un peu, et commença à les observer.
Il y avait huit hommes armés, portant des armures de plates lourdes, l'un d'entre eux semblait être le chef, il était plus grand plus vigoureux et portait une barbe.
Ainsi qu’une chariote, d’où il vu, de la nourriture et ce qui semble être une mâle, dépassée.
Il mourrait tellement de faim qu’il ne pu s’empêcher d’approcher et de monter furtivement dans cette chariote, en bois, toute pourrie.
Quel bonheur ce fut de pouvoir déguster de si belles tomates. Alors qu’il finissait de manger, il commença à fouiner dans la male, où il trouva des vêtements de femmes. Il fit tellement de vacarmes, que le cortège s’arrêta net.
A bientôt pour la suite de mon aventure