Texte de moi il y a 4 ans
Ce texte va vous conter l’histoire de, Dromadaire un renard pas comme les autres.
Tout commença le 27 juillet par une froide matinée d’hiver. Un chasseur se nommant Robert du Bois Bandé, parti à la chasse avec son fidèle épagneul Breton, répondant au doux nom de “Hé viens là sale bête”. Après une longue et éreintante marche de dix minutes à travers le champ du voisin, (qui possédait par ailleurs, un fort joli tracteur) il arriva dans la forêt sans nom (ce qui est logique, vu qu’il ne s’agit que d’un petit bosquet situé entre des champs, dans un petit village de merde qui ne mérite même pas qu’on lui apporte la moindre importance. Sur ce voilà la fin de la parenthèse !). Le chasseur légèrement ivre, après avoir vidé quatre bouteilles de schnaps et parlé avec l’esprit du citron, trouva un terrier, dans lequel vivait un couple de lapins Albinos et mangeur de cadavre (non je déconne, ils ne sont pas albinos).Tout fier d’avoir enfin repéré du gibier, il entreprit de les tuer, pour les manger le soir même. Il déversa donc trois bouteilles de White Spirit, cinq d’acétone et trois autres bouteilles bizarres (il les avait découverts dans l’usine de traitement des déchets toxiques qui se situait juste à côté du bistrot du village et qui avait une tête de mort sur l’étiquette) dans le terrier (il faut ce qu’il faut, ce sont quand même deux lapins de deux kilos cinq chacun et mangeur de cadavres. Je pense qu’il est nécessaire de le rappeler) dans l’espoir de faire sortir les lapins et de pouvoir les shooter à bout portant ! Quelques minutes plus tard les deux lapins réussirent à sortir de leur trou empoisonné et tombèrent raid mort. Le chasseur toujours sous l’emprise de l’alcool canardât les cadavres des lapins. Puis, satisfait de sa prise, il ramena les lapins chez lui, où il les cuisina en civet pour lui et la boulangère qui était sa maîtresse (et par la même occasion celle du prêtre, du facteur, du patron du tabac … en gros d’à peu près toute la gente masculine du village et même des villages voisins)
Le soir venu, au cours d’un magnifique dîner aux chandelles (il n’avait pas vraiment le choix, car cela faisait trois mois qu’on lui avait coupé l’électricité) les deux tourtereaux moururent (ce qui n’est pas très étonnant, vu ce qu’il a fait subir aux lapins qu’ils ont mangés).
Lors de l’enterrement, où toute la famille et les amis étaient venus (soit cinq personnes), “Hé viens là sale bête” ne put se résoudre à vivre sans son maître et se jeta sous le corbillard (il courait après un oiseau lorsque le corbillard le percuta) qui portait le corps de son bien aimé propriétaire.
La veuve de Robert du Bois Bandé (Josiane du même nom) porta alors tout son amour sur son seul et unique fils, Kenny, qu’elle noyait sous les cadeaux. Trois mois plus tard pour son dix-huitième anniversaire, elle lui offrit une magnifique moto, qu’il s’empressa d’essayer. Mais un grand malheur frappa de nouveau la veuve, car son fils alla s’écraser contre un pilonne électrique, installé par EDF une semaine auparavant (c’était un jeune conducteur, il revenait d’une fête, il avait beaucoup bu, sa moto était puissante et l’accident inévitable).
Folle de chagrin, Josiane tenta de se suicider en avalant une boite de laxatif, mais le résultat ne fut pas celui qu’elle attendait. Elle était désormais seule, désemparer et décida de s’acheter un chat. Durant toute une semaine tout se passa bien pour le chat, qui se plaisait à ne rien glander de la journée. Mais une fois de plus le destin allait se mêler à cette histoire. Alors que le chat s’était paisiblement allongé dans l’herbe grasse d’un pré a fin d’y piquer un petit roupillon, une vache s’assit durant quarante-cinq longue minute sur notre pauvre félin, qui ne ressorti pas indemne de cette rencontre. En effet le chat fut paralysé de l’arrière train, mais grâce à une volonté de fer (qu’il avait acquis lors d’un stage dans le corps des Marines des Etats Unis), il réussit à ce glisser dans un certain terrier dans lequel s’était installé un couple de ratons laveurs évadés d’un centre de recherche, devenu complètement fou à cause des produits toxiques déversés en ce lieu peu avant . Les ratons laveurs dévorèrent le pauvre chat paralysé qui ne pouvait hélas pas fuir. Après avoir goûté au sang, les deux ratons laveur tombèrent dans un état de frénésie et s’entretuèrent dans une lutte à mort
Pendant que Dromadaire se promenait (je tiens à rappeler que Dromadaire est malgré son nom un renard, car ses parents étaient atteints d’hallucinations et au moment de sa naissance, ils crurent voir un Dromadaire, et ils le nommèrent le plus naturellement du monde "Dromadaire") il trouva les cadavres des deux animaux, qu’il mangea (il était 17h30 et il n’avait pas prit de goûter et en plus il a le droit parce que c’est un renard). Après avoir ingéré le reste des deux ratons laveurs, il se sentit légèrement bizarre, une sorte de légère brûlure dans le ventre. Puis soudain il s’effondra, terrassé par une douleur si intense qu’aucun mot ne peut la décrire, c’était la peste ! Il n’avait plus de force, son corps était maculé de bubons. Seul dans ce bosquet, il pria son dieu de lui donner la force de vivre, mais il n’eut aucune réponse, alors il en appela à tous les dieux de la planète pour qu’ils l’aident, mais un seul répondit à ses prières, Nurgle) ! Il lui transmit sa force, et trois jours après, il était totalement guéri mais son corps portait toujours les marques de cet horrible fléau. Lorsqu’il revint dans sa forêt natale, il fut rejeté, mis à l’écart par ses anciens camarades, et tous les habitants de la forêt le rejetèrent à coup de pierres (les animaux sont cruels). Seul et abandonné de tous, il prépara sa vengeance, alors qu’il sentait une force surnaturelle dans ses muscles. Après un exil de trois ans, il retourna voir ceux qui l’avaient chassé. Mais, à sa grande surprise, toute la forêt l’attendait (un renard démoniaque, de cinq mètres de haut ne passe pas tout à fait inaperçu) et tous étaient armés de fusil (si imaginez des animaux avec des armes vous paraît totalement stupide, dites vous que d’imaginer un renard démoniaque l’est encore plus). Dromadaire leur faisait face et d’un bond se jeta sur avec la rapidité d’un guépard et décapita une biche, un ours, cinq lapins et trois perdrix d’un seul revers de patte et le reste de "l’armée" s’enfuit dans une totale désorganisation. Dromadaire les poursuivit, les massacra et les dévora tous (il a eu du mal à digérer, je dois vous l’avouer), puis mis le feu à la forêt (être un renard démoniaque de 6 mètres de haut (non ce n’est pas une erreur, il y a bien marqué 6 mètres car en tuant, il a pris des forces, quelques centimètres et un peu de bides à cause de la bière) ne lui suffit pas, il est aussi pyromane).
Dromadaire était heureux car il s’était venger, mais son âme n’arrivait pas à trouver le repos car il avait soif de meurtre. Alors il se mit en marche pour la ville la plus proche en exterminant tous ce qui se trouvait sur son passage. Lorsqu’il arriva à Métropolis, une armée toute entière l’attendait (des humains, pas des animaux) et ils firent feu dès qu’il se trouva à porté, mais les balles, les missiles et les obus ricochait sur Dromadaire et il anéanti la grande armée qui devait le stopper.
Alors que tout espoir semblait perdu, une espèce de fiotte, tout de rouge et de bleu vêtu, dans un costume moulant avec un "S" sur la poitrine surgit des cieux (ne vous étonnez pas de voir superman car on est à Métropolis). Les deux champions se firent face dans les rues désertes de Métropolis, mais le duel se termina aussi vite qu'il avait commencé car superman se fit broyé par une des pinces de Dromadaire (et oui, il subit aussi des mutations) avant même qu’il ne puisse bouger (honnêtement, que pouvait-il faire face à un renard démoniaque de quinze mètres de haut, pyromane et qui a des pinces).
De nombreux super héros tentèrent de vaincre Dromadaire, mais rien re pouvait arrêter sa folie destructrice. Mais comme chaque histoire à une fin heureuse, Dromadaire fini par mourir (de faim après avoir éradiqué toute forme de vie sur terre)
Morale de cette histoire : les renards sont des brutes.
