Les Mercenaires du Reikland
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 [BG] Alberick

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Alberick
Poivrot
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Alberick


Nombre de messages : 767
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Date d'inscription : 13/01/2008

Feuille de personnage
Nom: Alberick
Race: Humain
Carrière (classe): Répurgateur

[BG] Alberick Empty
MessageSujet: [BG] Alberick   [BG] Alberick EmptySam 1 Mar - 6:53

Vos doigts sentent la rugosité du cuir qui enveloppe un gros paquets de parchemins, il semblerait que ce dossier soit les relevés d’une enquête extrêmement détaillé sur un certain Alberick en feuilletant rapidement les premières pages vous comprenez que c’est un répurgateur sur lequel plusieurs de ses pairs ont émit des doutes quand à son intégrité. Certains passages attirent votre attention.

Le dit personnage était alors en mission pour informer le chef des mercenaires du Reikland, un dénommé Drugnalf Skani d’un objet pour le moment inconnu de nos services. Une altercation avec le neveu de ce dernier aurait révélé des anomalies dans le comportement du sujet (force excessive, attitude belliqueuse, possible utilisation de la sorcellerie…) nous retranscrivons ici le récit d’un de ses proches « Dalrik’makaz » fait a un des mercenaires dans les chambres même de leur quartier général « La taverne du Squig boiteux ».

« J'aurais préféré qu'il soit éveillé pour lui demander son avis, mais revivre ces sombres moment ne serait que lui infligé plus de souffrance.

Premièrement il n'est pas corrompu... Il est maudit...

Je vais vous raconter notre histoire.

Quand je fût mandé par les humains pour les aider à créer de nouvelles armes pour combattre le chaos, Alberick alors jeune répurgateur zélé et ambitieux se joint à moi pour m'aider dans mes recherches.

Nous travaillions à l'époque toujours ensemble. Une fois les recherches abouties nous dûmes partir en expédition dans les terres du nord. Je ne vous cache pas que c'est le plus gros foyer de maraudeurs du chaos de tout le pays.

L'expédition se composait ainsi, un prêtre guerrier serviteur de Sigmar, Une guerrière Elfe qui connaissait la forêt et les vents de la magie, un prêtre des runes exceptionnel, Alberick et moi même.

Nous vécûmes nombres d'aventures avant d'arriver à notre destination, l'ambiance était bonne et Alberick s'était déjà beaucoup attaché à ses compagnons. Il était jeune.

La guerre est une chose affreuse vous le savez, le but de notre mission l'était tout autant, et c'est que qui lui à valu cette... Punition.

Nous arrivâmes à destination dans les montagnes du nord. Prés d'un village d'adorateurs du chaos. Un de ceux qui ont leur propre temple dévoué à Tzeentch.

Les maraudeurs à cet endroit y étaient forts et frais, en terme de spécimen. Notre mission était de tester nos nouvelles armes sur des individus robustes touchés par le chaos.

Nous en capturâmes donc un... Il se défendu comme un lion... mais nous le maîtrisâmes et...


Cela durât trois jours... Trois jours pendant lesquels les râles d'agonie du maraudeur retentirent dans la vallée. Malheureusement, même si toutes nos trouvailles avaient un effet certain sur le maraudeur, aucune ne le tuât instantanément.

Alberick ne supportât pas plus longtemps cette torture infâme que nous faisions subir à notre captif. Au matin du quatrième jour il le brûlât après lui avoir mis une balle en argent dans la tête.

C'est à ce moment la que cette femme apparue.

Elle vociférât, Hurlât, pleurât. C'était de ce que pouvait en témoigné son accoutrement, une cultiste du chaos, une grand prêtresse, probablement étais ce elle qui officiait dans le temple au bas de la montagne ou nous nous étions installé.

Avant que nous ne puissions faire quoi que ce soit elle pointât un doigt accusateur vers Alberick. Et prononçât ces paroles que je n'oublierai jamais.

"Tu as pris mon enfant ennemi du changement, soit maudit, tu l'as arraché aux siens, je t'arracherai aux tiens!!! Ta vie ne sera plus qu'une vie de paria!!! ENTENDS MOI TZEENTCH REçOIS MON SACRIFICE ET INFLIGE LE DON à CELUI QUI NE LE MéRITE PAS!!"

Elle s'éventrât devant nous... Quand son sang atteignît les flammes du bûché de son propre fils Alberick ressentit une douleur fulgurante dans le bras droit...

La malédiction de la prêtresse avait été entendue... Le bras d'Alberick commençât à muter.

Vous comprendrez que pour un répurgateur cela signifie la mort parmi les siens...

Nous retournâmes immédiatement au village humain le plus proche, prenant soin de le faire passer pour fiévreux en le cachant aux vues de tous.

Il était évident qu'aucun d'entre nous n'allait laisser une telle chose se produire, nous nous concertâmes.

A l'époque nous avons loué la forge du village qui n'était que peu utilisé, je fis fondre et je modelais le peu de Gromril que j'avais reçu en héritage des mon père c'est à dire toute ma côte de maille pour fabriquer cette gangue que vous voyez. Le prêtre des runes Astinus y gravât définitivement des runes protégeant des forces du chaos. Luanah l'elfe, pris soin de lui et pria les esprits du vent de lui accorder leurs protections, Tidor le prêtre guerrier martelait les pièces une à une en les bénissant au nom de Sigmar. Notre travail d'équipe portât ses fruits. Le gant était prêt.

La mutation s'accélérait. Nous convîmes de lui "appliquer" le lendemain matin.

J'avais dans ma précipitation oublier certains détails. Les dieux n'aiment pas que l'on défasse leur travail.

Nous avoir du pratiquer une cérémonie très risqué unissant le pouvoir des runes de la lumière et de la nature pour contrer le fléau. Nous n'étions pourtant pas des débutants...

La douleur qu'Alberick ressentit quand nous avons fixé le gant pièces par pièces sur son bras était inimaginable. Nous avons réussi... Mais il manquait quelque chose...

Le rituel n'était pas assez fort... Il y eue un choc en retour. Le pouvoir combiné mal contrôlé nous à exploser en pleine figure.

Deux de nos compagnons sont morts ainsi. Luanah et Tidor...

Nous avons voulu jouer aux apprentis sorciers pour sauver notre ami, qui avait payé pour nous tous. Quel beau résultat n'est ce pas??

Concernant ce que vous avez ressenti c'est dû à son épée...

Comme vous l'avez compris nous n'avons pas intégralement réussi à stopper la mutation, physiquement du moins nous y sommes arrivé. Malheureusement dés qu'on le provoque ou dés qu'il se sent agressé, l'esprit du chaos en lui à tendance à vouloir prendre le dessus.

D'où cette force anormale que vous avez due ressentir en vous battant contre lui...

Nous avons donc du partir à la recherche d'un forgeron compétant, notre prêtre des runes nous accompagnait toujours, nous avions trouver une sorte de palliatif, une solution de courte durée, je préfère appeler ça une soupape de sécurité...

Baraz a dum... la promesse du chaos... C'est un sort d'affliction maléfique qui à pour effet de répandre le désespoir sur le champ de bataille... Il a été insufflé par notre prêtre au prix de sa radiation (ce sort est interdit pour les prêtre) et de la perte de tout ses dons pour une période indéterminé, le forgeron est mort peu de temps après... il ne se nourrissait plus et la culpabilité le rongeait sans raison apparente...

On nommât donc cette épée... Désespoir...

Maintenant au risque de perdre le vie et la raison, si Alberick craint de se transformer définitivement à cause de la rage du combat il peu lancer Baraz a dum pour perdre l'envie de se battre ce sort ne vous était pas destiné mon ami...

Voilà notre histoire. Depuis trois ans je cherche un moyen de retirer cette malédiction, en attendant mon frère d'arme n'a qu'une demi vie.

Vous disiez que vous le tueriez s'il était corrompu, cela sera probablement un soulagement pour son corps, mais il refuse d'en finir pas après tout les sacrifices faits pour le maintenir en vie. Il ne veut pas que toutes ces tragédies aient été en vain. »


Le sujet laissé seul dans sa chambre par Dalrik’makaz et son interlocuteur en profita pour s’enfuir de l’auberge par peur des représailles (c’est une supposition) en laissant derrière lui cette note que nos agents ont pu récupérer.


"Désoler de devoir vous quitter si tôt messieurs mais je tiens à vivre encore suffisamment longtemps pour régler mon "petit problème" je le dois à plusieurs amis tombé pour ma sauvegarde."
"Si quelqu'un souhaite me contacter faites brûler une torche devant la fontaine au nord de la ville à minuit"

hf wbjt fttbzfs ef uspvwfs vof tpmvujpo n^fnf tj kf epjt fo npvssjs.

La dernière partie du message est codée, nous ne nous sommes pas encore penché sur sa traduction.
Tout ce que nous savons de la suite c’est que son ami l’a retrouvé dans une maison abandonné au nord de la ville et qu’avec l’aide d’une personne non identifié de nos services à ce jour ils se sont enfuis dans les égouts ou nous avons perdu leur trace.

Il est important de rappeler que nous soupçonnons le « pieu noir » (ordre de répurgateurs tolérants pratiquant des expériences illicites sur le chaos) d’avoir construit un refuge dans les égouts.


Le sujet serait réapparu au beau milieu du quartier pauvre d’Altdorf ou il fut mêlé à un combat qui prit part entre un enfant du chaos et Drugnalf Skani le chef des mercenaires, un illusionniste actuellement affilié aux mercenaires du Reikland dont le nom ne nous a pas été révélé, l’ingénieur Dalrik’makaz et le sujet.

Nous avons aussi subtilisé un journal trouvé dans les égouts par un certain Vemgo Krupnik qui appartenait au sujet.

Ci-joint le récit de Krupnik tel qu’il a été retranscrit « mot pour mot » par le scribe Lucius Vonhase.


Je peux vous dire que l’homme était très instruit sans pourtant être un érudit. Né d’une alliance légitime entre parents nobles de la cour d’Altdorf il vécut une enfance heureuse dans une belle maison. Son père était chevalier de l’ordre du soleil flamboyant et sa mère infirmière. Ses parents s’étaient rencontrés quand le père avait été blessé au combat. Sa mère qui, bien que noble, ne supportait pas l’oisiveté, avait embrassé une carrière encore plus noble : celle de sauver des vies.

Ce bonheur dura jusqu’aux seize ans du jeune homme. Le destin voulut que son père tombe au combat face à une armé de serviteur du chaos. La guerre est une chose horrible et sa mère le savait. Elle prit la nouvelle avec dignité et continua son travail même si elle pleurait son amour chaque nuit.

Alberick, lui, jura de venger son père et commença à faire ses classes pour entrer dans l’ordre d’où son père venait. N’étant que simple aspirant, il assista à une tragédie que je ne souhaite à personne : Un groupe de soldats passant au dispensaire pour visiter les jeunes infirmières n’y trouvèrent que sa pauvre mère, qui malgré le passage des années était encore très belle. Ces butors, complètement ivres, la forcèrent à subir les outrages. Apprenant cela, Alberick accourût auprès de sa mère juste a temps pour la voir se jeter du haut de leur demeure. Elle n’avait pu supporter à la fois cette honte et cet outrage à la mémoire de son mari.

Alberick après avoir fait ouvrir une enquête, qui prenait trop de temps à son goût, rendit ses armes à son capitaine, et s’engagea dans une guerre beaucoup plus virulente contre le chaos. Il devint à l’âge de dix-huit ans, grâce à des amis fidèles à sa famille, inquisiteur à la cour d’Altdorf. Bien qu’il n’était qu’au plus bas échelon de la hiérarchie des répurgateurs, ses droits étaient maintenant suffisants pour se venger. Faisant preuve d’une verve et d’une rage presque fanatique il fit traduire en justice non pas seulement le groupe qui avait poussé sa mère au suicide, mais toute leur unité. Sur les soixante soldats, quarante furent immolés vivants en place publique pour pratiques démoniaques. Ainsi sa vengeance passa inaperçue, qui plus est, pour avoir démasqué tant de traîtres à la cause de Sigmar, il eut une promotion dans le sens où le grand inquisiteur de la cour lui demanda quel poste il souhaitait occuper.

Sa vengeance accomplie, Alberick n’avait plus envi que d’un peu de calme et de méditation, comme s’il avait, en une fois, brûlé sa haine et sa combativité en même temps que ces quarante soldats (dont peu être seulement cinq étaient coupables du crime qu’il leur reprochait). Il entra donc à la section de logistique et de développement où les répurgateurs, avec l’aide des ingénieurs nains et de leurs alchimistes (parfois quelques hauts elfes mais c’était très rare) développaient toutes sortes de nouvelles armes pour combattre et détruire le chaos.

Dans cette section il rencontra Dalrik’Makaz qui deviendra un ami sur et un compagnon d’arme. Tant et si bien qu’une fois leurs premières missions au dehors furent couronnés de succès.

Après de nombreuses années de recherches Dalrik’Makaz, avec l’accord du grand inquisiteur de la cour d’Altdorf, constitua une équipe pour une mission fort dangereuse mais qu’il estimait cruciale.

Alberick, âgé maintenant de vingt-cinq ans, l’aida en recrutant trois personnes aguerries, Le premier était Tidor Ghestalt, un noble guerrier guérisseur sigmarite, ensuite vint Astinus Barbepierre un nain, prêtre des runes, doublé un très bon artisan. Et pour finir Luanah Cimevent, une elfe à la beauté saisissante qui devait leur servir de guide.

Le but de cette mission était de voyager jusque dans les contrées reculées de Norska pour tester les nouvelles armes de la section de logistique sur des maraudeurs portant les mutations du chaos dans leurs chaires. Les spécimens les plus forts étant probablement plus proche de la source.

La petite troupe vécue de nombreuses aventures durant leur voyage vers Norska, mais ce que j’ai retenu de plus important dans le journal c’était cet amour naissant entre Alberick et Luanah. Au fil du temps leurs différences s’amenuisaient ou étaient effacées par la compréhension, après quelques pages de leur histoire ils n’étaient plus elfe et humain ils étaient frère et sœur d’armes, plus loin ils étaient amants mais toujours ils ont été "ensembles". Leur amour était si pur que Sigmar semblait veiller sur eux.

Leur mission les conduisit à se cacher dans les montagnes de Norska, guettant tels des oiseaux de proie un maraudeur se détachant de son escouade, ou se perdant dans les montagnes pour y chercher du gibier. Dans la vallée ils voyaient un village assez imposant avec son propre temple dédié à un dieu maléfique, Tzeentch selon Tidor. Ils attendirent longtemps puis arrivèrent à en capturé un.

Les extraits du journal étaient à ce moment de l’histoire bien plus mal écrits, il semblait que tout le monde était sur les nerfs. Les armes et techniques ne faisaient que faire pousser des hurlements inhumains au cobaye capturé, ses cris retentissaient dans la vallée et il continuait de crier même une fois qu’on lui eut arraché la langue.

N’y tenant plus, Alberick décida de mettre fin à cette torture. En tout cas c’est ce qu’il y avait écrit dans le journal. Les pages s’arrêtaient là. Je ne savais pas s’il a juste cessé d’écrire, ou s’il était mort à ce moment là.

Le journal est actuellement conservé en lieu sur par nos services.

Aux dernières nouvelles le dit sujet serait en convalescence dans l’auberge du Squig boiteux pour l’heure fermé sans aucune justification publique officielle. Nous continuons de l’observer pour savoir s’il a retrouver cent pour cent des ses caractéristiques humaines.


Vous refermez le dossier et vous apercevez un petit feuillet d’une autre couleur qui dépasse de la pile de feuille. Dessus une annotation rapide a été notée :

Alberick = Alberich ValdeSol ?


Des bruits de pas approchent dans le couloirs, vous ne pouvez faire autrement que de vous enfuir en prenant à peine le temps de laisser le dossier à son ancienne place.
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