[candidature]Jack Rackam [recruté]

Carte d'indentité imperiale :

Nom : Jack Rackam
Age : 29 ans
Sexe : masculin
Race : humain
Citoyenneté : imperial
Emploi : Enquêteur inquisitorial
Localisation : Erengard
Entécédent hérétique dans la famille : aucun
Informations complémentaires : membre de l'inquisition envoyé en Erengard pour enquêter sur la pureté des marchandises venant en Kislevie par la Mer des Griffes. Disparu depuis 3 ans.




Histoire personnel :

J'ai passé ma jeunesse dans un petit village de pécheur sur les bordures de la Mer de la Griffes. Dans ces villages les seules carrières professionnelles sont les différents moyens de survie de la population, dans mon cas, la pêche et la religion. j'avais choisi la pêche pour marcher sur les traces de mon père. J'étudiais avec lui les bases de la navigation et du commerce.

L'année de mes 15 ans, tout commença à s'effondrer. La quantité de navire nordique empêchait toute naviagtion, ils multipliaient les raids sur les villes marchandes, assiègéant et pillant tout les endroits qui pouvaient leurs être profitables. C'est alors que qu'un contingent inquisitorial apparut dans la région, il avait pour but de recruter toutes personnes en âge de naviguer et de ce battre.
Inevitablement, une nuit, ils arrivèrent en ville, il frappait à chaque porte, demandant les maitres de maison et leurs fils. Les temps étaient difficiles et les familles ne voulaient pas perdres ces mains jeunes et travailleuses, mais ils souhaitaient encore moins recevoir la colère de Sigmar. C'est pourquoi la majorité d'entre eux regardaient leurs fils, leurs maris ou les deux partir sans s'opposer.
L'homme qui entra dans notre maison était petit et boudiné, il avait le visage souriant. Mon père me fis sortir de la salles, mon père me protègerais. Je collais mon oreille à la porte et j'écoutais. J'entendais l'art de l'éloquence et du commerce m'éstimer, mon père et l'homme se mirent d'accord sur le fait que je coutais un écu d'argent, 42 de bronze et un nouveau filet de pêche. L'homme souriant sorti de la maison et me pris par l'épaule pour m'emmener dans le chariot. Les derniers enfants arrivés, à ma porte, à ma fenètre, personne ne m'attendait, personnes ne me retenait, personnes ne me pleurait. Et je parti en compagnie d'ami d'enfance et d'inconnu.

Je ne réalisais pas encore ce qui se passait, j'étais engourdi par toutes les émotions qui s'affrontaient dans ma tête, lorsque que le chariot s'effondra. Entre enfant, aucun ne parlait, tous suivaient les ordre sans chahut, sans opposition et nous descendîmes du chariot. Il s'était arrêté dans un clairière où était planté des centaines de tentes. Un gong sonna et des enfants sortirent des tentes, trois ou quatre par tente. Nous suivirent le pas quand tous se dirigaient vers le coeur de la clairière où nous attendait un prêtre debout sur un promontaire de fortune. Il leva son livre saint et parla d'une voie forte et raisonante :
"Bienvenue mes enfants, mes fils. Sigmar vous a appelé et vous avez répondu à son appel, il est fier de vous, je le sais.
Vous n'étes pas sans savoir que les temps sont dur pour vous, fils de pécheur et de marin. Sigmar vous offre la chance de les aider, d'améliorer leurs vies et la votre.
L'église sera votre nouvelle famille, elle vous éduquera à la religion de Sigmar dans tout ses details et toute sa pureté. Elle vous apprendra les rudiments du combat, elle vous apprendra à être implacable envers les infidêles et les hérétiques.
Vous serez les heraults de Sigmar contre les nordiques qui assiègent nos mers.
Maintenant allez manger et couchez vous, votre nouvelle vie commence demain."

J'étais fatigué et je m'endormis aussitôt, le lendemain nous partîmes pour Middenheim. Ce voyage me permis de faire le tri dans la tempête qui remuait mes pensées. Durant tout le voyage je m'atelais à trouver un nouveau sens à ma vie. Mon ancienne famille m'avais trahi, je n'avais aucune confiance en la seconde, mais je ne survivrais pas seul. A l'aboutissement du voyage, je m'étais fixé, je passerais le temps qu'il faudra au sein de la religion et j'aviserais en fonction des évenements.

Nous passâmes 6 mois à Middenheim où nous apprîmes les fondements de la religion, nous aprîmes egalement le maniement du pistolet et de l'épée. A la fin du sixième mois, en fonction de nos compétences et de notre motivation nous allions être envoyé dans l'amrée regulière, l'armée maritime ou l'inquistion. Une fois promu dans un de ces groupes, nous poursuivrons plus spécialement notre formation. Beaucoup d'entre nous ne reverrons jamais la mer.
La chance me souriait, nous étions quinze envoyés dans l'inquistion et nous allions être envoyé comme mousse dans un navire imperial d'Erengrad.

Erengrad et l'Empire avaient convenu un accord qui autorisé l'inquisition à s'installer afin de réguler les flux de marchandise, et de diminuer l'influence des pirates nordiques.
Avec le temps je me suis expérimenté et pris du grade au sein du navire, la Nef de Sigmar, jusqu'a devenir le second au bout de 6 ans. Parmis les enfants qui étaient avec moi depuis le début, nombreux sont mort durant un abordage ou ont été fusillés pour hérésie.
Lorsque la maladie emporta notre capitaine , je pris le contrôle du navire et je sû que ce signe marqué la fin de ma vie inquisitoriale. Les nordiques s'étaient calmé et l'alliance entre Erengrad et l'Empire n'avait plus lieu d'être.
J'avais à disposition un navire, des hommes, et l'ancien entrepôt de l'inquistion. Celui-ci était rempli par tous les butins pris aux nordiques : épées, armures, bijoux...etc. De plus j'avais le soutien des marchands de la Mer de Griffes car j'avais participé à la réouverture de la route commerciale. Enfin j'avais toujours le Rosarius de l'inquistion qui m'offrait toujours beaucoup d'avantage.
Un marché juteux et lucratif s'ouvrait à moi.
Pendant 5 ans je mis à profit mon marché, j'attaqué les navire marchand avec la Nef de Sigmar, je faisais bien atteintion à ne laissé aucun survivant. Je revendais le butin aux commerçants d'Erlengrad. Et à la moindre erreur mon Rosarius me permettait de faire passer mes attaques contre les marchands comme des attaques contre des hérétiques qui cherchaient à s'enrichir de façon impur. Mais au fur et à mesure que le temps passait, les citoyens d'Erengrad commençaient à se poser des questions à mon sujet et mon revenu de pirate ne me permettait pas de vivre sur mes economies.. Sentant le danger venir, j'abandonna mon navire et mes hommes lorsque nous étions à quai dans un petit port impérial.

Et je decida de m'enfonçer dans les terres afin de commencer pour la troisième fois une nouvelle vie.


Arrivée à Altdorf :

*Aldorf, la capitale, Je ne sais pas trop si c'est meilleur endroit pour devenir mercenaire mais vu les temps qui cours je pense que l'Empire reclamera toute l'aide qu'on pourrait lui offrir.*

Peu de temps après avoir traverser la grande porte de bois qui m'a accueilli, je remarque que cette ville est la plus grande qu'il m'est été donné de voir, et de l'aide ne serais pas de trop. Je risque de me perdre très vite.
Je repère un badeau qui se promene dans la rue.

Je l'interpèle :
- "Hey, peux tu m'expliquer où il y'a une auberge ?"
- "J'ai pas le temps de m'occuper de ton cas mon gas" me repondit-il. nonchalement, jusqu'a ce que je lui pende le Rosarius de l'inquisition sous le nez.
- "T'es vraiment sur que tu peux pas me lâcher quelques minutes ?" insiste-je.
Il se mit à bredouiller : - "Je suis désolé je ne savais pas que....enfin que vous êtes de la religion"
- "Bah t'es aveugle, je devrais pas avoir à te le dire, et cette auberge ?"dis-je en mimant un air menaçant.
- "excusez moi... une auberge... vous cherchez quoi comme auberge ?"
- "Une auberge où je peux trouver des mercenaires !"
- "Des mercenaires", s'étonna t'il, "et bien vous pouvez en trouver au Squig Boiteux, enfin je crois... vous le trouverais trois rues plus loin à gauche
- "Bien , maintenant vu ton insolence tu feras une penitence de trois jours."

Et avec un petit sourire en coin je le laissa planté là sur place. Je suivis ces indications jusqu'a me trouver dans la rue souhaiter.
La pancarte du Squig Boiteux flottait selon les alléas du vent, la lumière venant des fenêtres éclairait les quelques inconnus qui discutaient à l'entrée.
Je me decida à traverser le pallier de la porte, à l'interieur, l'odeur forte du rhum et de la bière me rappelais les bordels d'Erengrad. Je m'assoie sur les tabouret libre devant le comptoir et regarda s'affairer les gens, les vas et viens, les discussions...Je ne savais pas à qui parler alors autant tenter d'être le plus direct possible.
Parlant fort de tel façon que toute la salle m'entende :

- "Bon tout le monde je cherche le patron de cette auberge ou n'importe qui qui pourrait m'indiquer où et comment je peux rentrer dans un groupe de mercenaire ? "


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Bon voilà ma candidature mais bon ça m'emmerde un peu de la faire alors que je sais rien quand à la façon de jouer la classe de repurgateur.
Sinon vu que je sais pas trop quoi dire d'autre, je vous laisse libre de me poser plein de question !

[HRP]un répurgateur corrompu j'adoooooooooooooooore
la manière de combattre du répurgateur sera visiblement un mélange entre corps à corps et attaque à distance, mais tu veras bien
par contre tu n'aimes pas la conjugaison =D
j'espère que tu changeras de personnage pour nous permettre d'avoir une autre histoire =D

[HRP]

Citation :

par contre tu n'aimes pas la conjugaison =D

Ouais je suis pas fan de la conjugaison, si j'ai le temps j'éditerais.

Citation :

j'espère que tu changeras de personnage pour nous permettre d'avoir une autre histoire =D

Euh..... vu que j'ai passé l'aprem dessus j'éviterais si j'étais moi

Ton histoire est très sympa.
Bravo malheuresement nous sommes du côté des " gentils "...

Mais bon sa fait toujours plaisir de lire une histoire originale.

[HRP]On dit "dans l'Ostland" et pas "à Ostland". Ostland n'est pas une ville, c'est une région de l'Empire.

Bon, à part ça il y a de nombreuses fautes de français, il faudra faire un effort à l'avenir. Mais l'histoire elle-même est excellente [/HRP]

Dangorn leva le nez de sa chope. Le nouvel arrivant l'étonnait. Il souhaitait devenir mercenaire, comment cela était-ce possible ?

- Bienvenue en cette auberge, messire. Nulle raison de crier si fort, prenez donc une bière et discutons en attendant l'arrivée de Drugnalf Skani, c'est à lui que vous devriez vous adresser. Il sera là d'un moment à l'autre.

[HRP]
Correction des fautes, voyez ça comme une exception parce que là c'était vraiment moche. Franchement avec le nombre de faute que j'ai pondu, y'a de quoi se faire radier d'un forum, c'est bien la 1er fois que j'en fais autant.


@Ankor

Citation :

Bravo malheuresement nous sommes du côté des " gentils "...

Objection, mon personnage n'est pas spécialement méchant en soi, on va dire qu'il est très malhonnête.
Ensuite des mercenaires restent des mercenaires. On les paye pour faire un boulot, il le font et puis vasta. En plus vu les boulots qui peuvent nous être proposé, je pense qu'être gentil nous rendra fou ou sinon on aura vite fait d'avoir une sale réputation et donc plus de boulot.
Enfin dans warhammer qu'on viennent pas me dire que tout est tout blanc, tout noir. L'univers du Vieux Monde n'est pas aussi manichéen et c'est justement ce qui fait toute ça richesse. L'empire est quand même des extrémistes religieux pur et dur.


@Dangorn

Je m'occupe du problême de l'Ostland, je pensais que c'était une ville... Je vais changer ça, j'ai juste à trouver une ville suffisamment grande pour avoir un centre d'éducation religieux.

[RP]
Je regarde autour de moi afin de trouver le garçon de table et lui fait signe de me servire une bière puis je me retourne vers Dangorn et commence à boire ma chope.

- "Drugnalf Skani ? c'est un nom qui sonne très nain, il ya des nain dans cette ville. De là où je viens il n'y a pour ainsi dire aucun nain. Tu m'as l'air de bien connaître le metier, j'ai souvent eu à faire à des mercenaire mais je n'en n'ai jamais été un, y'a t'il des choses importantes à savoir ?

HRP: Bienvenue a toi. Un petit conseil ne montre pas ton pendentif a tout bout de champ sinon un pretre de sigmar risque de te tomber dessus lol .
Sinon j'ai bien aimé ton histoire. ( pour les fautes je suis tellement nul que je l'es ai a peine vu )

"Oh, moi, tout ce que je peux vous dire à propos de ce métier, c'est qu'il ne faut jamais menacer les clients sinon ils se barrent et nous perdons notre réputation, et qu'il ne faut pas avoir trop d'attaches à l'extérieur, car les risques sont bien réels." répondit le bretonnien d'un ton las, les yeux fixés sur sa chope, comme s'il récitait un texte appris par coeur.

Très bien, j'avais donc mal interprerter votre histoire.
Sachez quand même que personelement en tant que nain nous ne sommes pas malhonnete donc n'essayez pas de nous...tenter...

Ravi en tout cas de vous voir dans notre Taverne.

Thomrik descendit de sa chambre pour commander une de ses nombreuses bières quotidiennes quand il vit Dangorn et Ankor attablé avec un inconnu. Il les rejoignit alors, et tout en s'asseyant :

"Tave, remet la même chose pour mes amis et le nouveau, et amène une bière de plus pour moi ! Hum... non deux tout de suite, ça t'évitera de revenir !, puis s'adressant au nouveau venu :
Bonjour, je me présente : Thomrik Alriksson Grimrin, Martelier du Roi de Karak Norn et Mercenaire du Reikland depuis quelque temps maintenant. A qui ai-je l'honneur ? "

Je regardait le nain descendre sa bière.

- "Jack Rackam, inquisteur, rerpurgateur, commerçant, marin et pirate. Je suis assez polyvalent dans mon domaine", repondit il avec un sourire. "Et vous Thomrik, un martelier comme mercenaire, comment êtes vous arrivés ici ? . Ah, et merci pour les bières."

Je me retourne vers l'inconnu avec qui il avait déja discutait.

- " Et vous, vous ne vous êtes pas présenté ? Enfin bref, je suis suffisamment malin pour ne pas faire fuir les clients je vous rassure. Je ne m'inquiète pas des risques, j'en ai déja pris souvent et j'ai appris à faire confiance à ce avec qui je travail.
De la manière dont vous m'avez dit, ça n'a pas l'air d'avoir été toujours rose ."

"Excusez mon impolitesse, c'est un oubli de ma part."

Dangorn bomba fièrement le torse, sur lequel ses armoiries étaient brodées.

"Je me présente : Dangorn de Castagne, chevalier de Bretonnie. Je suis ici en queste du Saint Graal de la Dame du Lac. Je me suis fait engagé par erreur ici, mais finalement je pense que c'est la voie que la Dame a choisi pour moi. A présent je porte l'estendard de la Confrérie."

Du doigt, le chevalier montra son énorme packetage qui traînait dans un coin de la pièce. Des casseroles, un pupitre à tiroirs, des bourses de cuir, une tente, un bouclier, et une hampe d'étendard dont la bannière était enroulée tout autour.

"Bien entendu, je ne porte point tout cet attirail au combat. J'emmène parfois la bannière, mais le plus souvent c'est mon escuyer qui se charge de ceste tâche."

"Non, mon bon messire, ça n'a point toujours esté facile, mais que voulez-vous, les temps sont rudes et je crois que c'est partout la même chose."

*heinrich vit le répurgateur*

_Heinrich Konops Kowa, Diacre de Sigmar dans les terres des collines Konops kowa en Kislev... Tu es tépurgateurs, et tu fais pourtant d'autre métiers comme ceux de la piraterie. Sache une chose, tant que tu es fidèle à Sigmar ça me va et je ne te ferais aucun mal. Mais si Pirate, je sais que ta foi n'est pas aussi grande que la mienne, ta tête finira un jour séparer de ton corps.
Pour l'instant faisont honneur au met divin."

*le prêtre guerrier souriat et hurla*

_"Le castel paye sa tournée remercier ursun!!! Tournée générale Tav!!*

[HRP]

Citation :

ta tête finira un jour séparer de mon corps.

Ah oui on vous pas expliqué, Heinrich et moi on est siamois ....

[RP]

- "Eh bien, chevalier, j'éspère pour toi que tu est pur car d'après les dires, pour avoir l'honneur de tremper ses lèvres dans le graal, il faut être pur de corps et d'esprit. Donc, mise à part si tu considère le merceneriat comme sauvé la veuve et l'orphelin, je te souhaite bonne chance.
Je te rassure déja , que tu sois noble ou non, ça ne sera pas ça qui fera que je te respecte, ni même tes faits d'arme. Mais plutôt mais plutôt la façon dont je t'apprecierais.
Le respect, la fièreté et le courage sont surfait pour moi, ces très de caractères ne correspondent qu'au être imbu de leur personne.
Mais je vais ranger mes sarcasmes dans ton pupitre à tiroir car ce n'est pas en te dénigrant que je vais te connaitre."

Je souris amicalement au chevalier et je me retourne vers le prêtre :

- "Bien le bonjour confrère sigmarite" dis-je d'u ton ironique. "Je te rassure ma foi et tel que ma tête finira surêment hors de mon corps, il a bien longtemps que Sigmar et moi avons des différents. Mais n'oublie pas mon ami je suis encore inquisiteur, je suis la justice divine au dessus de la justice divine, alors c'est à toi de te tenir à carreau si tu ne veux pas que je te mette une féssé."

J'envoi un petit coup de coude amical et offrit un sourire au prêtre. Et regarda les 4 chopes de bières offertent par les membres de confrérie.

- "Je vous offrirais bien la même chose mais en ce moment je suis sans le sous, j'ai beau raclé mes de poches, si je vous paye la tournée je ne mangerais pas ce soir"

Lève la tête et se lisse le bouc :

- "Ou sinon faudrait que je me trouve un pigeon dans la rue..."

[hrp] Rah..... Bon je corrige ça tout de suite [hrp]

*le prêtre guerrier regarda l'inquisiteur*

_"La confrèrie avant tout*

*Et il se remit à l'étude des fleurs*

Dangorn laissa tomber le vouvoiement comme il laissa tomber son ton poli et amical.

"Je suis d'accord avec toi, la noblesse de sang ne fait pas tout" en disant cela, il jeta un coup d'oeil à Sigmaris.

"Néanmoins si tu veux être des nôtres tu devrais faire attention à ne point prendre de haut tes futurs officiers. Le respect doit aller dans les deux sens."

- "comme je disais plutôt, je ne respect pas en fonction du rang ni de la force, mais selon si je l'apprecie ou pas. J'ai souvent des problême avec la hierarchie mais quand on est mousse sur un galion impérial les supérieurs savent très bien te remettre dans le 'droit chemin'.
Je ne cherche pas à être autain je te rassure, d'une part ça n'apporte rien et d'autre par c'est mauvais pour les affaires."

Je devisage le prêtre :

- "Tu fais un bien étrange prêtre si tu préfères ta confrérie à ta religion, heureusement qu'il n'y a aucun inquisiteur dans la salle",lui repond-je avec un rire franc.
"Comment se fait'il que tu t'écartes de la voie religion ? Les prêtre d'altdorf sont quand même réputé pour être les plus intégriste qu'il soit."

*lève sa tête et regarde l'inquisiteur*

_"Je suis Diacre des terres Konops Kowa qui sont les terres de ma famille par edit du Tzar Bordha, bien que formé à Altdorf je reste avant tout un Kislevite et n'oublie jamais ça. Quand à ma religion, je sers avant tout Sigmar mais je prie aussi Dazh et Ursun comme tout bon Kislevite.
Maintenant si tu as pouvoir de tué un noble dont les terres dépende de celle de la Tzarine Katarina, tu es alors bien plus important que l'on peut juger par tes apparences."

*Retourne à ses études de fleurs*

Après avoir écouté ces échanges plus ou moins amicaux, Thomrik entreprit de répondre au répurgateur :

" Et bien, mon Roi a été gravement blessé suite à une bataille contre des Peaux-Vertes et son fils a préféré renvoyer tout mon régiment de Marteliers qui, selon lui, n'avait pas correctement servi son père. Certains de mes camarades ont choisi la voie du Tueur pour se faire pardonner grâce à une mort honorable. Personnellement, j'ai préféré écouter le doyen de mon clan, qui m'a conseillé de partir à l'aventure dans le Vieux Monde. J'ai donc rencontré ces mercenaires, et été introduit dans leur confrérie, lors d'une mission qui nous a mené en Arabie. "

- "Ce que tu me raconte Thomrik est étrange. Ton prince a eu une réaction bien excessive. En tant que fils, il doit également proteger son pêre, il est aussi fautif que vous. Je dis ça mais j'ai tout fait pour oublié le mien, de père, et maintenant je serais le dernier à venir l'aider en cas de problême.
Je pense quand même que l'avenir d'aventurier est préférable à celui de tueur. Les tueurs sont rejeté et repudié par leurs supérieurs mais ces même supèrieurs sont tout de même content de pouvoir 'profiter' d'eux pendant une bataille."

- "Hienrich je n'ai d'inquisiteur que le nom et l'emblême." Je joignis le geste à la parole en montrant le Rosarius au prêtre. "Cette babiole m'offre encore quelques avantages sur les commerçants ou pour soutirer des informations. Mais, aux yeux de l'inquisition, j'ai disparu depuis 5 ans. J'evite donc de trop faire parler de moi, sinon ils auront vite fais de faire la relation entre Rackam le pirate et Rackam l'inquisteur. Surtout que les navires imperiaux qui attaquent les navires marchands ne sont pas courant dans la Mer de la Griffe.
Tous ça pour dire que je dois évite de trop me faire repérer dans le coin, c'est justement la raison pour quoi je souhaite recommencer ma vie."

J'observais le prêtre chercher des informations sur la fleur qu'il avait devant les yeux dans un livre sur l'herborisme.

- "Dit moi tu m'as l'air bien passionné par les plantes, tu étudis l'art de la medecine par les plantes ?"

Korvadiel, comme toujours, était subjugué par ces étranges scènes ou des personnages torturés pénétrer dans l'auberge dans l'espoir de se faire enrôler, c'était toujours semblait-il , la même histoire, le type franchissait le seuil de l'auberge, peu importe son origine, il commencait à déballer sa triste vie et Korv capturé cet instant ou chacun dans la taverne écoutait le nouveau venu en ayant des réactions diverses , parfois subtiles et fugaçes , parfois outrancières et affichés.
Korvadiel attrapa un Vadhino passant par la et lui indiqua d'un geste à peine perceptible de venir le rejoindre à sa table, le prophète , intrigué bien que méfiant vint s'asseoir avec retenue.

-Dis donc l'ami, ouvre grand tes échauguettes, j'ai une proposition, bien entendu motivé par l'appât du gain, à te faire : tu sais qu'actuellement j'entreprend la réalisation d'un receuil regroupant les anecdotes et histoires me paraissant atypiques et se déroulant ici même. Le prophète sembla vouloir repliquer mais l'elfe ne lui en laissa pas le temps et poursuivi.
"Et donc, si tu l'accepte, je te demanderai d'aller de table en table récolter quelques menus renseignements que tu me rapporterais par la suite qui pourrais étoffer mes histoires vois-tu, afin de rendre la chose plus crédible , plus naturel... Alors ? Sois assuré que tu percevra un lot de piécette correspondant à l'utilité de tes renseignements...

Drugni entra par la porte de derrière. Fatigué après une longue et harassante journée de travail. Il posa son casque ainsi que son marteau sur une table, puis se passa les mains dans son épaisse chevelure pour rabattre les quelques mèches rebelles. Il constata qu'une nouvelle tête avait fait son apparition dans l'auberge. L'homme semblait quelque peu atypique. Il fouilla dans sa besace et en sortit une pipe finement ouvragée ainsi qu'une blague de tabac. Il fouilla quelques instants encore pour retrouver son briquet à silex. Fumer le détendrait un peu et cela ne ferait pas de mal à ses vieux os.

"Tave ! Sers moi donc une chope."

Le jeune halfling s'exécuta sans sourciller et rapporta au vieux nain une chope remplit du doux breuvage. Drugni contempla un instant la mousse qui recouvrait le tout puis il vida d'un trait la bière. Chaque fois c'était le même plaisir retrouvé. La chaleur de l'alcool réveillait son corps et faisait partir tous les rhumatismes. Alors qu'il finissait de fumer sa pipe il tourna à nouveau son regard vers cet étrange individu.

"Bonsoir à toi l'ami ! Je me présente, Drugnalf Morgrimsson Skani, capitaine des Mercenaires du Reikland. Je te souhaites la bienvenue dans l'auberge du Squig Boiteux. Profites bien des plaisirs qu'offre notre établissement, une boisson succulente, de bonnes tables et des lits douillets. Si tu as le moindre problème n'hésites pas à t'adresser à moi."

* Le prêtre guerrier leva sa tête vers l'inquisiteur*

"J'étudie seulement le langage des fleurs. C'est un travail reposant et magnifique. J'aime savoir quelles fleurs offrirent aux demoiselles et surtout la signification de mes offrandes."

*Heinrich se replongea dans ses études*

Voyant que le prêtre était peu enclin à la discussion, je me retourna vers le patron de la boite. La personne que j'attendais été là et apparement fatigué de ça journée, tout dans son attitude permettait de devnier qu'il était un vétéran des batailles c'est pourquoi, il vallait mieu être direct :

- "Bonjours vous êtes l'homme que je cherchais, Dangorn m'as dit que je devait m'adresser à vous pour entrer dans la confrerie. Et c'est bien ce que j'espère obtenir.
Je m'appelle Jack Rackam, je souhaite devenir mercenaire afin de remplis mes fonds, mes intêrets sont purement lucratifs. je ne cherche ni à rendre service, ni à protéger la veuve et l'orphelin. C'est en tant qu'ex-pirate et ex-inquisiteur que je souhaite mettre à votre service mes compétences.
Que pensez vous de ma propostion ?"

Drugni resta silencieux a dévisager Jack Rackam. Il avait face à lui ce qu'on pourrait appeler un baroudeur, un homme qui avait eu plus que son lot d'aventures. La façon directe dont il s'exprimait laissé à penser qu'il avait une grande confiance en lui. D'ailleurs il ne paraissait que peu enclin à agir avec honneur et il semblait prêt à réalisé même les plus basses besognes s'il pouvait en tirer un quelconque bénéfice.

Il était bon dans une troupe de mercenaires de compter des hommes d'honneur tel que certains de ces camarades, mais Drugni savait qu'il fallait aussi s'entourer d'hommes n'ayant peur de rien.

Le vieux nain décida enfin de briser le silence et prit la parole :

"Mon ami, si vous voulez que nous commencions dans de bons termes il faudrait voir à ne point m'insulter en m'appellant "homme". Drugni à cet instant esquissa un sourire. Pour ce qui est de votre proposition je ne peux simplement vous dire qu'elle sera étudié dans la chambre des officiers en temps voulu. Soyez en sur la réponse ne tardera pas."