[Candidature] Chatiment [Deserteur]

bonjour a vous tout d abord et merci pour ce site fort sympatique...

Petite presentation:

Je m 'appelle "chatiment" et je suis un vieux de la vieille des JdR que j ai commencé il y a presque 20 ans. Par la suite je suis passé sur pc en ecumant les serveur de DAOC pendant plusieurs années avant d arreter faute de bonne guilde RP.
Aprés je me suis mis a warhammer battle et warhammer40k dont je possede plusieurs armées.
J ai fais la connaissance de votre site grace a la presentation de votre guilde sur le site de WAR que j ai trouvé fort sympatique d ailleur...

Sinon mis a part cela j habite st brieuc en bretagne ou je travaille en tant que vendeur dans un magasin de bricolage.
voila une petite presentation pas tres back ground mais ca viendra plus tard...

Bienvenue Châtiment ! Adepte de Victor Hugo ?

D'après ton pseudo je subodore quelle carrière tu vas choisir dans WAR...

Je me présente a toi noble chevalier je suis chatiment répurgatrice de mon état.
je viens de loin pour trouver de l'aide j'arrive du nord ou les chose ne vont pas bien du tout je sens la tempête arriver le tonnère commence à se faire entendre la d'où je viens...

HRP : Ah une répurgatrice, ça va renflouer nos stocks depuis la remise en question existentielle de certains quant à leur classe

(HRP) A DAOC je jouais un assassin et j'ai adoré ce perso donc je veux essayer le répurgateur voir s'il est aussi sournois lol

Salutations, je t'invite à visiter ce post https://reikland.forumgaming.fr/Warhammer-Online-Age-of-Reckoning-c6/WAR-Recrutement-f12/Recrutement-Ouvert-A-lire-t674.htm Et aussi à regarder les autres post de candidature.


Si tu as des questions hésite pas à me contacter !

Merci a toi je n'y manquerais pas...

HRP

Korv le Déraciné a écrit:

HRP : Ah une répurgatrice, ça va renflouer nos stocks depuis la remise en question existentielle de certains quant à leur classe

Encore un repurgateur... et l'autre qui veux devenir ingénieur !
J'en ai marre

As-tu quelque chose à leurs reprocher méssire ?

Ouais y'en as de trop

Au début je voulais faire repurgateur mais vu le nombre bah j'ai de moin en moin envie ...

Normal pour une noble proffession par les temps qui courrent...

Je vais répondre au petit questionaire histoire de mieux me faire connaitre.

Quel est le nom de votre personnage, quel race ?
Chatiment, humaine

Savez-vous quelle(s) classe(s) vous allez jouer sur W.A.R. ?
répurgatrice

Avez-vous déjà joué à un MMORPG ? Si oui, le(s)quel(s) ?
oui DAOC mais ça date...

Comment avez-vous connu la CMR (Confrérie des Mercenaires du Reikland) ?
Sur le site de WAR avec la présentation de la confrérie

Quels sont vos hobbies ?
warhammer warhammer40k lecture et pc

Combien de tournées dans la taverne du Sguig boiteux seriez-vous prêt à payer pour être accepté ?
Autant qu'il faudra ma bourse est pleine...

Seriez-vous prêts à exécuter les ordres d’un elfes, d’un humain ou d’un nain ?
Je n'ai rien contre l'une ou l'autre de ces deux race s'ils ne sont pas corrompus par le démon...

Et pour finir une question très personnelle : quel âge avez-vous ?
J'ai 33 ans mais chatiment, elle est plus jeune...



Châtiment


« Châtiment n’est bien sur par mon vrai nom tout le monde pourrait le deviner facilement, mais il est des nom que l’on ne souhaiterait jamais porter… »


Voici donc ma véritable histoire :

Je vis le jour il y a de cela 25 printemps et bien que mon age ne le prouve pas j’ai déjà vécue bien des vie… J’ai grandi au château de mon père le Marquis Von Friegstrad frère de l’actuel comte électeur du Norland, hé! Oui j’ai dans les veines le sang de la plus haute noblesse de notre saint empire.
J’ai donc reçu toute l’éducation qui siée à mon rang même si déjà je me rebellais face à mes précepteurs (qui de toutes façon n’arrivaient jamais à rien avec moi …) et les faisaient courir à travers tout le château.
Vers l’age de 7 ans mon père fut promu ambassadeur de son frère et m’emmena avec lui à travers tout l’empire au début, puis dans d’autres nations dont l’Estalie, la Tillée et la Bretonie. J’ai beaucoup appris aux cours de ces voyages dévorant le monde de mes yeux d’enfant, je sais ce que sont les alliances, les accords commerciaux et même les intrigues de cour.
Nous rentrèrent au château 3 ans après notre départ et ma vie reprit son court normal, enfin c’est ce que je croyais au car mon père m’apprit en ce jour maudit qu’il comptait me faire entrer au couvent des sœurs du martyr de sainte Mathilda un ordre de prêtresse Sigmarites qui officiaient dans le Nord à la frontière de l’Ostland.
J’eus beau crier, hurler même que je n’irais point, telle fût la décision de « Von Friegstrad » qui finalement eu le dernier mot.
Et donc du haut de mes 11 ans je fus conduite au monastère où m’accueillit avec chaleur mère supérieur Sophie. Je fus vite acceptée par toute la congrégation travaillant très dure une terre pauvre pour aider à la subsistance du couvent. On m’inculqua les valeurs et la foi en Sigmar, c’est à ce moment là que je découvris ce que c’était de croire en un idéal.
Les 4 années suivantes passèrent à une vitesse fulgurante m’endurcissant le corps au labeur des champs et l’âme en prières devant l’autel de notre dieu.
Les troubles commencèrent à cette période, la guerre faisant rage dans le nord, les réfugiés arrivant par dizaines plus ou moins blessés j’aidais alors sœur Fraye l’apothicaire du couvent à préparer les mixtures d’herbes pour soulager les malheureux.
C’est à ce moment que je découvris les horreurs de la guerre et les ravages de la corruption du chaos avec toutes les difformités qu’il entraîne. C’est là, seule dans la coure de l’abbaye accroupie devant une petite fille munie d’un troisième oeil au milieu du front que je j’appris la première leçon de ce qui est aujourd’hui mon travail.

« Ne t’approche pas d’elle fit une voix d’homme derière moi, elle porte la marque du chaos, son corps et son âme sont corrompus, tu ne peu rien faire pour elle, elle est condamnée. »

Je me retournais pour croiser le regard de Hans Kerslog le palefrenier qui s’occupait des bœufs et mules de l’abbaye, mais je ne reconnaissais pas sa voix, son timbre avait changé, je ressentais une haine refoulée depuis des années.

« Ne peut-on vraiment rien pour elle m’écriais-je, on ne peut décemment pas laisser une pauvre enfant seule dans la nature, même si elle est difforme. »

« Non, elle doit mourir par les flamme pour purifier sont âme et sont corps » me dit-il en sortant un long poignard de sous sa tunique.
N’en croyant pas mes yeux je tendis les bras vers Hans pour l’empêcher de s’approcher de l’enfant, mais d’un simple revers de la main il m’envoya au sol au pied de la fillette, et levant haut le bras il s’exclama : « Par le très saint Sigmar je t’absous de tes pêchés, je lave ton âme et ton corps dans ton sang, que sa divine bienséance t’accueille en son sein », sa lame décrivit alors une parabole parfaite et trancha la gorge de l’enfant m’éclaboussant de son sang.
Je le regardais ne sachant plus très bien ce qui ce passait, me sentant comme vaporeuse, puis je m’évanouie.

A mon réveil Hans était à mon chevet, il me parla d’une voix profonde et grave, « comment te sens-tu mon enfant ? Je devais le faire, rien ne pouvait la sauver, il est des choses qui doivent-être faites pour éviter des souffrances inutiles. »
Je lui demanda alors : « Mais qui es-tu Hans ? Pourquoi tout ceci, elle n’était qu’une enfant innocente ? »
C’est à ce moment qu’il me raconta sa vie, son récit fut long et ne s’acheva qu’aux premières lueurs de l’aube. Je connaissais la véritable histoire d’un des plus célèbres répurgateur de tout l’empire.
Après son récit, il me posa une question qui me troubla terriblement. « dis-moi, petite, quand tu parles à des inconnus ne t'arrives-t-il jamais d’apercevoir une ombre ou une forme au dessus de leurs épaules ? »
Je fus ébranlée par sa question, comment pouvait-il connaître ce secret que je n’avais jamais dit à personnes de peur de moqueries.
« Oui c’est vrai mais comment sais-tu cela lui demandais-je ? »

« Je l’ai ressenti de la même manière que tu vois ces ombres car vois-tu l’âme de toute créature pensante dégage une aura autour d’elle, plus ou moins sombre selon la pureté de celle-ci , et certaines personnes peuvent distinguer ou percevoir cette aura. Tous les répurgateurs on ce don ou arrivent difficilement à l’apprendre, et c’est pour ça qu’ils sont si craints. »

A partir de ce jour Hans m’enseigna toutes les ficelles de son art, à commencé par l’escrime et le maniement des pistolets à poudre noire. J’étais une élève assidue car pour la première fois j’aimais ce que l’on m’apprenait.
Il m’emmena battre la campagne m’apprenant à subvenir à mes besoins et débusquant d’horrible créature appelés hommes bête, des corruptions démoniaque que l’on ramenait la nuit au couvent pour en faire une étude anatomique complète.
Puis un soir la milice locale est venue chercher Hans, ils avaient besoin de lui pour juger une famille de fermier soupçonnée de pactiser avec les dieux sombres. Il m’emmena avec lui pour parfaire ma formation, mais tel ne fut pas m’on étonnement quand arrivé sur place il me dit : « C’est toi qui va faire le jugement de cette famille et tache de ne point te tromper la vie d’innocents est en jeu. »
C’est donc avec ce lourd fardeau que j’entrais dans la salle d’audience du tribunal improvisé dans la maison du bourgmestre, la première chose que je perçus c’est l’atmosphère de haine des villageois rassemblés ici puis tout au fond de la salle la pauvre famille de paysan composé de trois enfants en bas age et de leurs parents.
J’écoutais alors tous les témoignages fait par la populace locale, il en résultait en fin de compte plus de jalousie que de déviance même si je ressentais le mal dans la pièce.
Je rendis mon jugement le lendemain en déclarant les paysans non coupables des crimes leur étant reprochés, il s’ensuivit un brouhaha et des huées à mon encontre mais dans le même instant je pointais un doigt accusateur vers le bourgmestre en lui disant : « Par contre vous je vous condamne de pactiser avec le malin je vois votre âme souillée par l’engeance du démon. »
Dégainant son pistolet Hans mit en joue le malheureux et invita les miliciens quelque peu surpris à mettre au fer leur patron ce qu’ils s’empressèrent de faire.
Ce fut mon premier jugement et bien d’autres suivirent par la suite, le bourgmestre brûla au bûcher le lendemain même et c est moi qui l’alluma...

Puis un beau matin en fin de printemps une missive arriva de mon très cher père, m’enjoignant de revenir de toute urgence au château.
Le voyage ne dura que quelques jour mais me parut une éternité tellement les questions et les doutes m’assaillaient. Hans avait insisté pour m’accompagner et tenta en vain de me remonter le moral.
Enfin nous arrivâmes au château et furent conduis séance tenante devant le châtelain, qui m’accorda à peine un regard.
« Bonjour ma fille me dit-il, je t’ai mandé ici pour te faire savoir que tu épouseras en fin d’année le Duc Rumbert fils aîné du Duc Folcard de Monfort afin de sceller une alliance forte et durable avec nos alliés de Bretonie et ceci pas ordre de notre très saint empereur Karl Franz. »
Mon cœur s’arrêta de battre dans ma poitrine, je me sentis défaillir, ce n’était pas possible je devais rêver, pas ça, pas à moi.
« Mais père! m’écriais-je ne peu pas je me suis déjà engagée auprès de notre dieu Sigmar je suis à son service pas à celui d’une noblesse décadente qui ne sert que ses intérêts négligent le bas peuple que je me suis juré de défendre. »

« Tu ne peu en aucun cas remédier à tes obligations envers l’empire et ce serait un affront pour nos alliés ainsi que pour moi-même !! » S’écria-il.

Prise d’une soudaine folie je pris mes jambes à mon cou et pris la fuite du château, Hans m’accompagnant toujours, nous chevauchâmes pendant plusieurs semaine pour enfin atterrir au plus profond du Riekland.
Là pendant plusieurs année nous mimes notre épée au plus offrant escortant convois et bourgeois pour subvenir à nos besoins.
Un jour notre convoi tomba dans une embuscade tendue par une harde d’hommes bêtes et bien que nous réussîmes à les repousser Hans fut blessé à mort. Juste avant de rendre son dernier souffle de vie il me tint ces propos : « Ma petite, la route s’arrête ici pour moi, j’ai fais mon temps place aux jeunes, prends ceci me dit-il en me tendant un pendentif sur lequel était accroché la comète à deux queues, le symbole de Sigmar et qu’il te protège comme il l’a fait pour moi. Maintenant va et ne te retourne pas change de nom si tu veux continuer à chasser le démon, le tien ne te siée plus. »

Et alors que Hans expirait son dernier souffle d’aire je lui dis : « Dorénavant on m’appellera châtiment, pour que tous sache ce qui les attendent en pactisant avec les forces des dieux sombre. »

Et depuis ce jour châtiment écume toutes les contrées de l’empire pour débusquer le mal dans ces moindre recoins…

Il pleuvais depuis déja plusieurs jours et les routes si on pouvait encore appeler ça des routes étaient pleines d'ornières fanjeuse...
Sur la grand-route de "Talabheim" au portes "D'Altdorf", marchait une silouhète sombre avec un chapeau a large bord, sous sa longue cape à haut col dépassais le fourreau d'une épée...
Les rues de la capitale étaient vide sous la pluie battante d'autant que la nuit vennait de tomber, et n'étant plus trés sures depuis quelques temps il fallait se présser.
Aprés quelques hésitations et détours malvenus la silouhète trouva enfin ce qu'elle cherchait...

C'est la bonne enseigne mon informateur ne m'a pas trompée, j'éspère trouver ici ce que je n'ai pas réussi a Talabheim penssa-t-elle...

Poussant la lourde porte elle entra dans la lumière chaude de l'auberge de la Confrérie des Mercenaires du Riekland.
La salle était bondée une bonne flambée répandait une douce chaleur dans la pièce et le brouhaha des conversations donnait une note chaleureuse cette sombre soirée.

Bonsoir noble compagnie je viens de loin et j'ai beaucoup à raconter pour ceux qui ne saurais pas les troubles qui se passent dans le nord...

Elle attendit la réaction de son auditoire avec un peu d'anxiété, et en profita pour oter son chapeau dévoilant une cheveulure blonde et abondante.

[HRP Merci à celui qui a fait la fusion j'allais le faire ]

Salutations, je suis Yadaraf Ligrim. Comment vous nommez vous ?

Venez vous assoir nous raconter ce qu'il se passe dans le nord ! Tave apporte une bière !

[HRP : j'ai fusionné les deux sujets, car il ne peut y avoir qu'un seul sujet de recrutement par personnage. ]

"Bonsoir et bienvenue, gente damoiselle. Nous sommes toute ouïe, quelles sont les nouvelles du Nord ?" questionna le chevalier albinos, son accent chantant et son parlé plein d'expressions inusitées depuis des lustres trahissant son origine bretonnienne et le fait que le Reikspiel n'était pas sa langue maternelle.

A peine eu-t-elle oté son chapeau qu'un nain plutot costaud la salua et l'invita a sa table.

Bonsoir yadaraf et merci de ton hospitalitée.
Mon nom importe peu on m'appele juste chatiment...

Elle suivit donc Yadaraf à sa table et avant de s'asseoir ouvrit sa longue cape dévoilant deux longs pistolet dans des étuis de poitrine et une fine rapière à son coté.

Bonsoir à toi sir bretonien, les nouvelles sont loin d'être bonne la tempête approche...

Sentant sur elle les regards du chevalier et du nain chatiment continua son discourt...

J'arrive
de Talabheim à l'instant ils sont sourds à tout ce qui se passe sur les
frontières du nord, pourtant c'est pas les preuves qui manque entre la
peste et toutes les engeances du démon qui apparaissent partout dans
notre bon empire.

Soupirant de frustration la jeune femme se
défit complètement de sa lourde cape, vida d'un coup la choppe de
bièrre aimableblent offèrte pas le nain et s'exclama:

Tournée générale pour tout le monde!

Puis plus bas à l'addresse du nain et du chevalier.

L'alcool ne résoud pas les problèmes mais pour un temps ils parraissent moins urgents...

L’alcool ne résout pas tous les problèmes… Voila une devise que bon nombre d’entre nous devraient appliquer, n'est ce pas ?

Se rendant compte que le message était plutôt destiné à Dangorn et Yadaraf la jeune elfe prit un air confus.

Désolé, ça entend loin ces petits machins… Dit elle en désignant ses longues oreilles.

Alana prit ensuite place à leur table tout en prenant soin de se tenir a une distance suffisante du nain.

Bonsoir jeune et belle elfe on m'appelle chatiment et comme je le disais à vos compagnons j'apporte des nouvelle du nord. Les choses vont mal labas.
La guerre se prépare et notre bon empire risque de ne pas se remettre de celle-ci, j'ai vu des choses qui ferraient frémir le plus valeureux des nain.

Elle vida sa dexième chope et en commanda une autre aussitôt...

Alana, ancienne ranger d'Ulthuan. Enchantée.

L'elfe observa l'humaine vider sa choppe puis contempla la sienne d'un air indécis, ne se souvenant que trop bien de sa derniére cuite.
Elle tourna la tête vers Yadaraf puis le regarda avec un air implorant.

Vous n'auriez pas du lait fraise s'il vous plait ?

Tu m'as l'aire jeune pour une elfe qu'est-ce qui t'as poussée à l'aventure si ce n'est pas indiscret Alana . Dit-elle en étouffant un sourire à la mention du lait fraise.

"Châtiment... Ce nom ne vous sied guère. Ou plutôt, l'on peut dire qu'à vous voir on aimerait presque être châtié sans avoir péché. D'où vous vient ce prénom, si ce n'est un pseudonyme ?"

Dangorn prit un air confus.

"Excusez-moi, mes compliments sont un peu maladroits. Et d'ailleurs, si vous me pardonnez ce jeu de mots peu subtil, je mériterais châtiment pour mon impolitesse car je ne me suis guère présenté."

Le bretonnien se leva et fit une révérence, les jointures de son armure grinçant affreusement.

"Dangorn de Castagne, de Bretonnie comme vous l'avez justement deviné."

La porte s'ouvrit en fracas, Ankor entra, visiblement bléssé, il avait plusieurs cornes accroché à sa ceinture. On voyait bien que celle-ci avaient été coupé vulgairement. Néanmois, plusieurs flèches avaient atterit dans son boulier et visiblement une à la jambe, vu qu'il boitait et que il laissait du sang dèrrière lui.

" - Ah ben les gars, en ce moment faudrait qu'on fasse une battu, on m'a attaqué sur le chemin du retour...une dizaine d'orc et quelques gobelins, avec des foutus arcs, c'est bien une tactique elfe sa de balancer des flèches de loin, ben vous me croirez ptet pas mais y'a un de ces tordus qui a touché le vieux Ankor...Taaaaavvvvvee ! Trois bière bien fraîche vite ! Et un vieux torchon steuplait ! Enfin bon j'ai tué 4 orcs mais bon les deux autres humains se sont fait zigouiller par leur boss sur sanglier...pfff degueulasse, enfin bon dites à Drugni que l'escorte a été mené à bien et que je rapporte la bourse de la paye. "

Ankor détacha et posa les défenses d'orcs sur la table où plusieurs mercenaires étaient assis, puis posa son bouclier et son marteau avant d'enlever peniblement le morceau de flèche resté coincé dans sa jambe.
Puis il remarqua la nouvelle arrivante :

" - Tiens salut, désolé je suis pas très présentable, je suppose que vous venez postuler, je vous offrirai bien une bière mais bon là j'en ai trop besoin moi même héhé. Enchanté en tout cas, je me présente quand même, Ankor Barrberousse, Brisefer et Mercenaire du Reikland. "

Puis il s'inclina maladroitement sur sa chaise avant de prendre le torchon que lui tendait Tave pour appuyer sur sa blessure.

Ce qui m'a poussée a l'aventure ? Répéta l'elfe alors qu'une lueur de malice parcourait ses yeux, ignorant comme a son habitude tous ces nains qu'elle trouvait tellement bruyant.

L'or, la gloire, les hommes... S'interrompant dans sa tirade elle jeta un regard peiné sur Dangorn, Yadaraf et Ankor
Enfin... Pour ce qui est des hommes on repassera.

Je suppose que pour mon lait fraise aussi je repasserais ? Demanda t'elle a Yadaraf les yeux plein d'espoir.

"Je crois qu'elle m'a regardé quand elle a dit 'les hommes', tu crois que c'est une ouverture ?" chuchota Dangorn à Yadaraf.

Bouarf je te le déconseil, c'est une elfe tout de même !