[Archives] Au Squig Boiteux, la salle commune

Mordrep entra dans la salle mine haute, et commanda d'un ton sûr un verre pour chaques mercenaires se trouvants ici. Il pris place installant une table au centre de la pièce, puis annonça :

- Mes... hum, amis, frères et camarades, je... Eh bien, j'ai une révélation à vous faire car en vérité vous ne connaissez pas tout de moi et... Il y à une partie de mon passé que j'aimerais que vous appreniez d'ma langue plutôt que v'nant d'autres. C'est une histoire assez longue que je vais vous expliquer la, je vous r'mercirais d'y être attentifs entièrement ou pas du tout.

Mordrep entama son histoire , qu'il avais aussi restranscrite dans son journal, expliquant comment il eu servit dans la piraterie. A l'issu il chercha tout les regards afin de capter les réactions.

[HRP je m'excuse d'avoir mis ainsi ce lien vers la suite de son BG que je vient de poster mais je ne pensais pas approprié de poster deux pages d'histoire ici, surtout que c'est la même. Partie concernée : la dernière tout en bas "Un secret dévoilé". Merci de votre compréhension.]

Comprenant finalement que c’était finit l’elfe cessa de contempler Mordrep avec des yeux de merlans frits puis se redressa avant de s’étirer tel un chaton.

Humm… Une petite histoire au coin du feu. Ça me rappellerait presque mes jeunes années, tiens.
Enfin, les héros sont quand même un poil plus grassouillets et rustique que dans mes souvenirs mais ça ne manque pas de charme.

Après la fin de l'histoire de Modrep, KarakAlaric se rapprocha de celui-ci et se permis de lui donner une tappe sur l'épaule.
Et bien, ca fais plaisir de voir que nous sommes plusieurs à avoir quelques secrets innavouables. Je vous raconterais peut-etre mon histoire, d'ici peu.
Sur ce, il retourna s'assoir.

Le récit achevé, le relatif silence qui était parvenu à s'instaurer fut rapidement balayé par les commentaires des différentes tablées. Chacun y allant de son avis sur cette bribe de vie qui venait d'être partager. En ce qui le concernait, le récit de cet inconnu laissait Kardiss pour le moins indifférent. Après plus d'un siècle passé à arpenter le monde, la vision qu'il en avait s'était pogressivement modifié. La limpide frontière qui délimitait dans sa jeunesse le bien et le mal s'était au fil des douloureuses expériences de la vie inéxorablement dissoute, laissant place à une zone bien plus flou où les deux notions s'exprimaient et se mêlaient dans toutes leurs intensités. L'histoire dont il venait d'être témoin ce soir n'était qu'une illustration supplémentaire de cette intangible réalité et même le soit disant légendaire sens de l'honneur des nains n'y faisait défaut. Désireux de s'aérer l'esprit et les poumons par la même occasion, Kardiss s'éclipsa un moment de la taverne.

(HRP) Ne sachant pas si il m'est autorisé de poster dans d'autres parties du forum, je me permets de poster ici pour te dire que ton histoire était pluôt sympa Mordrep(HRP)

HRP
tu peux parler n'importe ou dans le forum, les endroit ou tu ne peux pas parler, ne te sont pas visible =)

Efaloraï, assis sur une chaise au fond de la salle, était en train de lire une oeuvre relatant la fondation de Lothern, une jolie tasse de thé à la main.

Cela lui rappelle sa vie à Ulthuan, la menace qui pèse sur ses frères restés sur l'Ile ainsi que sa mère qui vit à Lothern.
La pauvre femme qui vit seule depuis que tous ses enfants sont partis...Sans un sou.. Elle qui passe son temps à coudre quelques chemises et pantalons vendus à un prix misérable au marché hebdomadaire.
L'elfe songe alors à envoyer sa solde de mercenaire à sa maternelle...

Mais comment faire ?
Les grèves à Altdorf se multiplient, les hommes demandants de "meilleur conditons de travail" et une soit disant "revalorisation des salaires"...
De plus, quand Efaloraï prit le bâteau pour le Vieux Monde, les dockers nains ont exigés de lui qu'il paye le tarif double, pretextant que les personnels elfiques portent malheur sur un bâtiment.
Par ailleurs, Efaloraï ne peut pas se permettre de faire lui même des allez-retour incessants entre Ulthan et le continent.
De rage, il tourne rapidement les pages de son bouquin et finit par le jeter sur sa table:
- Et puis zut ! Diantre, cette solde ne doit servir qu'à moi ! Dans le vie, il faut savoir se serrer la ceinture ! Avec ces fichus torchons, elle ne s'en tire pas si mal ! Elle a de quoi vivre et voilà l'essentiel. Quant à moi, je n'ai même pas encore été recruté. Elle est ici la précarité !
Hm..maître Nain, servez moi une pinte ! Ou même deux !

La conscience soulagée, il se mit à boire plus que de raison. En regardant un nain attablé à ses côtés, il lui dit alors:
- Salutations l'ami ! Savez vous ce qui séparent la Civilisation de l'Animal ? Gné ?.. L'Océan. Haha... hic!

- Par Grimnir et par Morgrim, quel ennuie ! Il faudrais que je retourne en Estalie tant que le temps me l'permet.

Mordrep regarda le fond de sa chope, puis redressant la tête il s'adressa autour de lui :

- Ou en est la situation aux frontières ? L'Estalie est-elle toujours accessible ?
Enfin... Eheh, j'veut dire, ça n'l'était pas spécial'ment avant mais ça allais encore. V'la s'que c'est d'rester l'cul vissé. D'puis qu'chuis au Reikland chuis plus au courant d'rien !
Ces temps-ci mes nuits sont tourmentées par Les Rôdeurs notre ancienne compagnie, j'voudrais aller m'assurer qu'on à abandonné personne la bas.

Puis il toussa un semi rire antipathique en serrant les dents:
Pfeu ! De vivant j'veut dire.

Il rajouta en regardant Urvan du coin de l'oeil, ne faisant pas en sorte qu'il entende, mais esperant bien que ce serait le cas:
-Et j'n'ose même pas aborder l'sujet avec l'vieux.

Mordrep essayait de ne pas montrer cette faiblesse mais, pour ceux qui le connaissaient un tant soit peut, il etait visible qu'il portait un sentiment de contrariété, ou de culpabilité. Enfin, "plus qu'avant" serait le mot juste.

Urvan leva les yeux de son comptoir, rutilant il s'échinait a le rendre scintillant. Drugni et Dangorn au bar lui firent signe. Quelques murmures plus tard le vieux observa son vieil ami mordrep et saisit quelque chose sur la hotte puis se dirigea vers lui.

"L'estalie dis-tu mmh? C'est trop loin, nous avons besoin de toi ici. Des recrues a entrainer et j'en passe."

Urvan posa un lourd pichet de bière sur la table et y jeta négligemment une bande de tissu doré en forme de V a coté. Sans un mot il remplit les verres sur la table et en bu une longue rasade

"Mercenaire Mordrep, j'crois bien que tu viens de te trouver une fonction dans mon groupe ."

Il bu une autre rasade

"C'était le galon de Tattersail... Porte le avec honneur."

Mordrep resta de marbre. Fixant ce galon, ses yeux étaient ouverts aussi grands que les portes de Karak et roulaient des billes. Tout le monde ne devais pas comprendre mais, pour le vétéran d’une vieille bataille qui forgea son âme aussi agressivement et aussi éternellement que le sont les haches forgées par les nains, ces galons étaient un artefact. Ces galons appartenaient en effet à la seule elfe, que Mordrep considéra aussi chèrement qu’il considère son vieux compagnon d’arme, morte sous le commandement du vieux, mais sous le sien aussi.
Il essuya son front dégarni après avoir ôté son casque et releva le regard sur son ami. Ses yeux exprimaient tant de bonté et de gratitude, qu’il était facile de comprendre.

- Merci, cap’tain’.

Il enfila fièrement les galons, puis il se tourna vers Dangorn et Drugni. Après les avoir fixé quelques secondes les remerciant du regard, d'un signe il les invita et posa lourdement sa bourse devant Urvan le sourire aux lèvres et rétorqua :

- [A Drugni et Dangorn] J'ai encore jamais bu une chopine avec mon chef, j'aim'rais avoir s't'honneur avant qu'ça n'puisse plus l'faire.

- [A Urvan] Paye toi mon frère, et fait en sorte que personne n’ai soif, ce soir, c’est un jour de fête.


Il leva son pichet de bière devant lui, et laissa couler quelques flots sur le sol, puis avant de boire, il s’exclama d’une forte voix :

- A Tattersail !

Puis d’une voix plus faible :

- A vous, et à ma nouvelle vie parmi vous.

L’émotion avait eu raison du nain. Cependant, plus têtu qu’un bourricot, au fond de lui un sentiment l’oppressait, car il savait, qu’il retournerait la bas un jour, en Estalie, afin d’être sûr de n’y avoir laissé personne.
La guerre l’avait endurci, une main de fer dans un gant de fer, mais il restait bon et responsable. C’est sous sa soit-disante "folie ", qu’il cachait tout cela.

Sortant de nul part, Shandra tenait un drôle d'instrument dans ses bras.

- Faut fêter ça dignement, d'ailleurs, ce gars m'inspire une petite chansonnette...Hem, hem...Une petite chanson pour notre nouveau mercenaire, Mordrep.

Plusieurs clients sortirent précipitement de la taverne, sans finir leurs consommations. Les mercenaires, habitué a ce genre d'évênement, se contentèrent de sortir du persil et de la cire, avec un air résigné.

- Alors, je vais appeler ça la complainte du nain Kurdom.
- Kurdum. Corrigea l'intéressé.
- Nan, mais c'est pour l'histoire du lyrisme, t'y connais rien, alors écoute au lieu de critiquer.

Shandra avait pris son petit air hautain qui la rendait souvent insupportable. Se concentrant, elle commença a pincer les cordes de son nouvel instrument, un son, rapellant un chien qui agonise en sorti. Elle se mit ensuite a brailler :

- D'ESTALLIIIIE ILLL ESTTT PARRTIIIIIII
PARRRCCCC'KIIILLL PLLLEUVAITT CHEZ LUIIII!!!
ILL ESST DEVIENDDUU MERRCENAIRREEEEEUHH
POOOUURRR FAIIRREEE UNEE GRAND' CARRIEEERREEE!!!
SSOUUUS'L'SOOOLLEEILL DES CHEEMMINNS D'PIEEERREUH
AVVEEC URVAN ILL VA PARTTIIIRR A LA GUERRREEUH
ON ESSSSSPEREUH QU'IL FINIRAA PASS EN MORCEAUUUX
COMMM' L'NAIN K'S'APLAIITT OSSO BOCOOOOHHHH !!!

Les vitres de la taverne commencèrent a vibrer un peu fort...Shandra s'arrêta pour prendre sa respiration, mais ne pu commencer son deuxième couplet, une corde venait de casser.

- Ah mince, c'est pas solide le matériel gobel...enfin, les trucs qu'on achète pas cher au marché quoi. Ajouta-t-elle précipitement. Bon, faut que j'aille réparer ça, je reviendrait te chanter le reste plus tard.

KarakAlaric était étalé sur le sol. La "chanson" de Shandra semblait avoir eu raison de lui, et il était par terre, les deux mains sur les oreilles. Lorsque le tyran sortis de la salle réparer son instrument, le nain se leva brusquement et cria sur un ton improbable entre la plaisanterie et le discours solennel :
La révolution est en marche ! Shandra tombera ! Joignez vous à nous !
Puis, continuant son discours plus bas.
Si vous etes interessés, venez nous parler, à moi ou à Dwinbar Kheledril, dès que ce monstre ne vous surveillera pas.

En sifflotant nonchalamment, il se fondit dans la masse de la taverne, tout en se dirigeant dans la direction de Dwinbar.

Dangorn enleva les bouts de saucisse qu'il avait mis en hâte dans ses oreilles quand Shandra avait sorti son espèce de luth.

- Une chance que j'étais en train de manger.

Avec un sourire, il accepta l'offre de Mordrep et commanda un bon pichet de bière bien fraîche.

Urvan fit un clin d'œil a Mordrep, la vie reprenait son court, les morts et les disparus était le passé pour lui, oh bien sur il avait eu le temps pour les larmes, mais un mercenaire vivait l'instant présent. Il envoya une bourrade a son ami tétanisé
"C'est comme ça qu'on gagne nos batailles, grâce s on talent, ma sœur d'arme peut invoquer des trolls!"
Partant dans un grand éclat de rire Urvan but sa pinte cul sec

"Qu'elle invoque des trolls c'est vrai que c'est bougrement utile sur un champ de bataille ! mais qu'elle fasse venir le déluge en même temps, je ne suis pas sûr que cela nous aide vraiment !" lança Dwimbar à Urvan avec un sourire, le tympan droit proche de l'implosion.
"Félicitations Mordrep, ton parcours honore notre peuple. A la tienne vieux frère" dit-il avec joie et enthousiasme.
Il se retourna vers la foule et vit KarakAlaric arriver vers lui, il lui dit tout bas : - "Bon Alaric, est-ce qu'on lance la cagnotte "cours de chant" et l'opération "Il faut sauver le soldat Shandra" maintenant où on attend un peu, tu penses qu'ils sont prêts ?" Les deux nains regardèrent l'assemblée avec des bouts de saucisse, des bouts de tissus et des bougies prédécoupées coincées dans les oreilles...
- "Je pense qu'ils sont prêts oui, qu'en penses-tu ?"

"La pluie c'est la boue, la boue ralentit l'adversaire, et les trolls les rattrapes plus vite huhuhu"

Souriant Urvan se servit une autre pinte

"Shandra est une fine tacticienne de la chanson mouhahahaha"

(bon il est temps que j'introduise un perso dans la guilde de façon rp quand même, donc voici kredin, prêtre des runes, qui sera certainement mon perso principal)

Une soirée bannale pour la taverne du squigg boiteux s'amorçait, chacun vaquait à ses occupations habituelles quand un individu pour le moins singulier fit son entrée dans la grande salle...
"C'est quoi ça ?" demanda un ivrogne à son voison de tablée.
"J'crois bien qu'c't'une espece de nabot" lui répondit son comparse.

Certains purent voir Torlokk se prendre la tête entre les mains à la vue de l'étrange individu.
C'est alors que Kredin l'aperçu et grand sourire aux lèvres, vint à sa rencontre.

"Ahh! Chalut mon onc'!
J'io une bonne nouvelle, j'viens m'enrôler dans t'compagnie d'bras cachés !"

Et d'une voix plus forte et bien audible de tous.
"On m'a dit d'oller vir el recruteur, Yadaraf qui ch'appelle !"
"Chi on pouvait m'dir' qui ch'est ?"

La salle était bondée, les vitres s'étaient fardées de givre. Par elles, on pouvais apercevoir la nuit qui blanchissait. Le vieux était agenouillé devant la cheminée ou il avait ajouté un chenet de bonne taille, tisonnant pensivement les braises rougeoyantes de l'âtre.
Un frisson le parcouru et il remonta sa lourde cape sur son dos. Un soupir lui échappa, infime mais présent, d'une main distraite il caressa sa longue barbe blanche d'une main couturée de cicatrices. Il aimait cet instant entre nuit et jour, beaucoup disaient que c'était l'heure des fées, d'autres, l'heure ou les disparus offraient un dernier baiser, une dernière pensée aux êtres chers qu'il avaient laissé derrière eux... Ou celle que les sorcières choisissaient pour réapparaitre et maudire leurs ennemis. Comme cette nuit.

D'une voix étrangement douce le vieux murmura au vent
"La fin n'est qu'un éternel recommencement... Eternel soit il."
Il se redressa de toute sa taille, imposant et massif. Son visage taillé a la serpe était surplombé d'un nez de boxeur qui avait dû être autrefois aquilin. Un instant, son regard gris acier abandonna sa froideur coutumière pour un fugace sourire avant que ces lèvres ne ce durcissent a nouveau. Il tira une chaise et s'assit devant le feu toujours perdu dans ces pensées, inconsciemment, son doigt couru sur la cicatrice l'ayant rendu borgne
"Paix a ton âme Magdaléna"
Son regard s'assombrit et il frissonna a nouveau, le Hexenstag était fini, pourtant année après année cette nuit là le mettait mal a l'aise, comme si de son passé, une sorcière allait surgir pour un dernier combat.

"Tu n'refuseras pas une bonne pinte vieux frère... Surtout qu'la soirée est plutôt bonne !"
C'était Drugni qui tendait une chope remplie à ras bord à son vieux compagnon d'arme. L'espace d'un instant son visage naturellement si dur sembla s'adoucir tandis qu'il esquissait un sourire.
"Qu'y-a-t'il? Tu ferais bien d'me l'dire de suite car tu n'pourras pas m'cacher bien longtemps c'qui t'rend si pensif..."
Il attrapa une chaise derrière lui et la plaça devant le feu juste à côté d'Urvan. Les flammes qui dansaient lui donnait l'apparence d'une statue de marbre.

Le nain entra dans la taverne bondée, son armure lourde cabossée et son crâne rasé a blanc luisaient à la lumière des torchères. Il jeta un regard a la ronde, un regard d'acier. Il passa une main sur son crâne pour en chasser l'eau qu'étaient devenus les flocons de neige que le vent avait répandu sur son visage et sa barbe.
Campé sur ces jambes, peut de nains pouvaient rivaliser de taille avec lui. D'un pied sur il se dirigea vers le comptoir abaissant un œil sur le nain penché sur le feu de l'âtre et son compagnon assit a ces cotés.
Arrivé là il posa avec rudesse son bouclier et sa hache contre une chaise proche, marquant visiblement son territoire puis se tourna vers l'assemblé et tonna d'une voix rauque:
"Je veux parler a Drugnalf Skani."
Faisant peut de cas des regards pesant sur lui il attendit.

Urvan allait répondre a l'aimable proposition de Drugni quand entra le nouveau venu. Le vieux le suivit des yeux et écouta ce qu'il disait, se levant a son tour, il afficha lui aussi une stature que peut pouvait prétendre, mais la blancheur de sa barbe indiquait l'expérience que le nouvel arrivant ne possédait pas.

"N'allez pas plus loin l'ami, lui répondit Drugni en se levant de sa chaise. Je suis Drugnalf Morgrimsson Skani, je vous souhaite la bienvenue à l'Auberge du Squig Boiteux mais vous pourriez peut être me dire à qui ai-je l'honneur?"

Le regard lourd que posa Urvan sur Sagna qui trônait au dessus du comptoir ne fut pas très dur a comprendre, Drugni avait prit soin de le devancer connaissant son caractère, il observa le nain au crâne rasé d'un air mauvais pensant de manière visible que si ce jeune chiot persévérait dans son entrée fracassante, l'entrée risquait de ne pas être la seule chose fracassante.
Sans un mot son œil borgne se reporta en détail sur ce nain qui lui semblait pourtant familier...

L'elfe avait beau se trouver à 6 métres de Kredin elle ne pouvait s'empêcher de plaquer un foulard sur son nez pour se protéger de l'odeur.
d'un geste précipité elle indiqua l'autre bout de la taverne au nain.

Yadaraf ? Par là, allez y vite ! Il va partir, allez ! Vite ! Ouste !
Je vais mourir d'asphyxie...

Kredin écarquilla les yeux à la vue de l'elfe, pris une grand inspiration et se raprocha d'elle tout exité.
"Merchi bien dame elfe, quand mon entretien chera fini je cherai tres impachiant de dichcutailler avec vous.
Ch'pas tous les jours qu'un nain à l'occajion d'rencontrer une elfe en de bon termes, hihihi"

Et il s'en alla tout sourire dans la direction désignée voir si ce Yadaraf n'y était pas.